| | | ▬ when two hearts collide ; with or without you? ~ Treyton. |  |
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Mackenzie J. Preston
A savoir : ▌son petit frère compte plus que tout pour elle ▌ elle est très indépendante ▌ on ne touche pas à sa cigarette ▌le chocolat & le caramel sont deux choses sacrées ▌ mais comment va-t-elle survivre sans un épisode de Dr House & des Simpsons le soir avant d'aller se coucher? ▌ U.C
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| | Sujet: ▬ when two hearts collide ; with or without you? ~ Treyton. Mer 12 Aoû - 11:30 | |
|     « Nobody said it was easy. »
Pour une fois, les autres membres de l’Oberon n’avait pas besoin de son aide, et elle se retrouvait à errer dans les locaux de l’Organisation sans aucune raison possible. Si elle avait su, elle serait restée chez elle ce matin. Mais non, elle était bien ici et elle devrait faire avec. Comme toujours c’était le rayon de ce soleil qui avait été la cause de la mort de temps de personne qui étaient venus chatouiller à travers les épais rideaux son visage, la faisant émerger de ses profondes et intimes rêveries alors qu’une nouvelle matinée commençait dans le Globe. Depuis le jour de la catastrophe, c’était ici que vivaient les quelques survivants, comme une sorte de refuge contre ce qui restait à l’extérieur et qui conduirait sans aucun doute à leur perte s’ils y résidaient. Mais grâce à cette organisation à laquelle elle appartenait, une certaine organisation semblait avoir émergée du chaos pour tenter de limiter les dégâts. Et malgré cette action qui semblait noble en soit, depuis quelques temps, on pouvait remarquer que Mackenzie semblait prendre ses distances avec les autres membres de cette institue qui était pourtant ses collègues. Plus froide que d’habitude et moins prompte à s’éterniser après les réunions, ce comportement était du au fait qu’elle commençait à se poser quelques questions qui l’amenait à avoir de sérieux doutes quant à cet organisme et ses motivations premières. Comment avaient-ils pensé le Globe avant même le jour où tout avait basculé ? Où trouvaient-ils l’eau nécessaire à la survie des êtres humains restants ? Comment dans une telle situation de crise avaient-ils pu être aussi efficaces à trouver une solution alors que toute la population était amenée à la panique ? Quelque chose ne tournait pas rond. Ce n’était pas cohérent si on prenait le temps d’y penser. C’était ce qu’elle s’était dit une nouvelle fois en partant de chez elle ce matin avec Luka dans ses bras. Le seul survivant avec elle de sa pourtant si grande famille. Son frère était tout ce qui lui restait aujourd’hui, sa petite lueur toute au fond du sombre tunnel dans lequel elle venait de s’engouffrer avec tant de ses concitoyens. Elle savait qu’elle avait eu énormément de chances que dans de telles circonstances un enfant de seulement trois ans arrive à s’en sortir mais elle avait tout fait pour, étant même prête à se sacrifier elle-même s’il le fallait pour qu’il puisse continuer à vivre. Cette tendance à ne jamais baisser les bras et à aller jusqu’au bout des choses quoi qu’il puisse lui en couter, l’absence de peur en elle, cette force dans son regard qui imposait le respect aux autres malgré son faible gabarit et sa vivace intelligence qui lui permettait de réagir au quart de tour face à des imprévus, voilà ce qui avait attiré l’attention de l’Oberon sur la jeune femme. Il faut dire qu’elle se dénotait par ce comportement pour le moins déterminé et effronté en cette période d’un très grand nombre d’autres survivants et c’était de ce genre d’attitude que les autorités avaient besoin pour faire avancer les choses. Seulement, si la loyauté de Mackenzie s’avérait en tant normale sans faille, si elle commençait à douter, nulle doute qu’elle n’aurait pas le moindre scrupule à fouiner un peu pour trouver ce qu’on pouvait bien lui cacher. Mais pour l’heure, elle décida de réserver cette matinée aux études, histoire de rendre son travail plus efficace pour les patients dont elle s’occupait parfois. En effet, avant que tout cela n’arrive, la jeune femme était une étudiante lambda - quoi que plutôt douée - en première année de médecine et les soins qu’elle pouvait malgré tout prodiguer à ceux qui en avaient besoin ne cessaient de devenir de plus en plus nombreux de jour en jour du fait qu’elle donnait le meilleur d’elle-même pour étudier soit au contact de ses pairs déjà diplômés ou en se servant de livres qu’elle arrivait à trouver, en assimilant le contenu par elle-même. Ainsi traversait-elle les couloirs de cette partie là du Q.G avec une montagnes d’ouvrages dans les mains saluant vaguement les gens qu’elle croisait alors qu’elle se rendait à la salle de repos, voyant que cette dernière était vide pour le moment. Logique me direz-vous, quasiment tout le monde avait quelque chose à faire à cette heure là. Mais pas elle. Elle souffla en posant ce qu’elle avait porté sur la table avant de passer une des mains sur son épaule endolorie par le voyage. Cherchant rapidement des yeux autour d’elle ce qu’elle pourrait utiliser pour travailler plus efficacement, elle sourit en apercevant un tableau blanc avec quelques feutres qu’elle tira devant elle alors qu’elle se délestait de sa veste pour rester avec un simple short en jean et un débardeur blanc, attrapant une pince dans son sac pour attacher ses longues noires en hauteur et ainsi ne pas la gêner dans sa réflexion. Tournant les pages d’un des bouquins jusqu’à l’endroit souhaité, elle lut à voix haute le titre du chapitre, comme pour s’en imprégner.
Mackenzie - « Les conséquences d’un traumatisme du à un changement brutal sur l’être humain. »
Oui, elle étudiait ce chapitre depuis un petit moment déjà mais elle voulait en comprendre tous les moindres recoins car c’était après tout dans ce domaine que ses compétences médicales étaient le plus sollicitées. Commençant à travailler, elle griffonner de petites choses sur la surface devant elle avec un air calme mais réfléchi. On aurait pu penser qu’une jeune fille comme elle aurait surement d’autres occupations que des noms scientifiques plus difficiles à comprendre les uns que les autres mais Mackenzie n’avait jamais été aussi frivole que les autres femmes de son âge. Prenons l’exemple des garçons par exemple, elle n’avait jamais eu de petit copain. Alors certes, elle avait déjà croisé des jeunes hommes mignons mais elle était tellement concentrée sur ses études qu’elle ne leur avait pas donné une seule chance de tenter de la séduire. Et on pouvait dire qu’elle recommençait ici sans vraiment sans rendre compte le même schéma que tout le long de son adolescence. Tellement focalisée sur ce qu’elle avait à faire, et ce qu’elle-même désirer entreprendre, elle laissait son cœur hors de portée de ceux qui auraient éventuellement voulu y faire un petit tour. Mais dans un sens, elle-même reconnaissait n’être pas encore prête à s’engager avec qui que ce soit. Était-ce une raison de confiance en autrui ? Surement. De nature méfiance, elle avait du mal à croire totalement en une personne et il fallait du temps pour pouvoir se rapprocher convenablement d’elle sans qu’elle ne se dérobe à un moment ou à un autre. Car la petite latino était un peu comme le vent que l’on peut sentir mais qu’on ne peut guère saisir. Pourtant, il faudrait bien qu’un jour qu’elle se pose et offre à quelqu’un la chance de pouvoir tenter de s’approprier ses pensées et son âme. Mais pour l’heure, elle était si concentrée sur sa tâche, qu’elle n’entendit pas la porte s’ouvrir derrière elle alors qu’une autre personne se glissait dans la pièce inoccupée par un autre être qu’elle jusqu’à ce moment là…
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| | | | Treyton M. Hollows
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| | Sujet: Re: ▬ when two hearts collide ; with or without you? ~ Treyton. Sam 15 Aoû - 14:32 | |
| Comme chaque jour je me rendis de mon piteux appartement jusqu'au Q.G de l'Obéron. Cela faisait que depuis une semaine que je pris réellement conscience de la situation. Le Globe était beaucoup plus qu'un lieu de survie, c'était comme une espèce de secte mais en beaucoup plus élaboré et plus grand. Du moins c'était mon impression. Vivre sous un monde de verre était étrange et légérement glauque. Je ne me sentais pas à ma place, pas à l'aise en vue des événements qui c'était produit sous mes yeux. Je regrettais à chaque seconde de ne pas avoir dit à ma famille que je l'aimais. De ne pas leur avoir avouer qu'ils me manquaient atrocement depuis que je m'étais en quelque sorte "émanciper" de leur tutelle parentale. A présent j'avais honte de ne pas avoir eu le temps de leur dire cela. Il ne me restait aucun être cher. J'étais seul face au nouveau monde qui n'attendais que mon aide pour survivre et s'agrandir.
J'assistais à une réunion, en faite c'était la même tout les matins. Ils nous réexpliquer la marche suivre, comment on devait se comporter face aux personnes qui ne faisaient pas partie de l'Organisation. Tout un speech que je connaissais par coeur désormais. J'écoutais que d'une oreille ce qui se disait dans cette salle. Après plus d'une heure d'un long discours et de discution sans fin, nous sortîmes chacun notre tour pour vaquer a nos occupations. Je ne pouvais aller dans les laboratoires sans avoir ma blouse et mon badge d'accès que j'avais oublier dans la salle de repos. Je du donc retourner sur mes pas pour chercher ces derniers. Pour cela il fallait que j'emprunte un couloir interminable. Ce fut pas la première (ni la dernière) fois que je passais par là, j'avais toujours eu l'impression qu'en l'empruntant il y aurait une sorte de porte qui nous ménerait à la fin de ce monde. Mon imagination était de plus en plus débordante. J'avais l'impression que tout redeviendrais comme avant. L'apparence, en tout cas, laisser y penser. Tout les couloirs des locaux de l'Obéron était "fait" pareil : murs blancs, sol en lino blanc (légérement sallis par les allers et venus chaque jours) et plafond blanc. De temps à autre des fénêtres venaient s'ajouter à ce décor. Celui là était ainsi, mais c'était le plus long de tous et le plus horrible à mes yeux.
Même s'il paraissait interminable, j'atteignis la salle de repos en moins de dix minutes. En ouvrant la porte je ne m'attendais pas à découvrir quelqu'un. Ce fut alors une surprise de voir Mackenzie pencher sur une pile astronomique de livres en tout genre. A cette heure-ci, normalement, tout le monde devrait être entrain de s'affairer à des centaines de recherches au laboratoire ou autre tâches de ce genre. Mais non, elle était bien là sous mes yeux. Pour ne pas trop la déranger je fis le moins de bruits possible, mais dans un silence pareil le moindre de mes mouvements résonnaient comme un coup de trompette.
Tretyon ▬ « Désolé, je ne pensais pas trouver quelqu'un içi. »
Je m'avanca vers les casiers qui étaient mis à notre disposition pour en retirer ma blouse blanche immaculé de quelques tâches de produit utilisés en laboratoire, puis de mon badge que je glissa dans la poche avant de mon pantalon. Sur la porte de mon casier, j'eu la bonne idée d'y coller un petit mirroir. J'en profita pour observer discrètement Mackenzie qui n'avait pas sortis sa tête de ses livres. Tout en l'observant j'enfila ma blouse. Cette jeune fille me fascinait. Elle n'avait jamais daigner me regarder comme moi je le faisais. A vrai dire, j'étais comme attiré par elle, malgrès qu'elle soit plutôt du genre à m'ignorer ou repousser mes avances. Ne pas pouvoir l'avoir d'un coup de baguette magique m'obstiner encore plus. Je la désirais, je la voulais pour moi. Un seul regard me suffirait. Je referma mon casier puis m'approcha de la table ou elle se trouvait. Je ne pouvais m'empecher de jeter un coup d'oeil à ce qu'elle lisait.
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| | | | Mackenzie J. Preston
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| | Sujet: Re: ▬ when two hearts collide ; with or without you? ~ Treyton. Sam 15 Aoû - 15:40 | |
| Vous avez déjà essayé de déconcentrer Mackenzie quand elle travaille ? Et bien bonne chance, c’est quasiment une mission impossible. Quand elle commence à se donner corps et âme à une tache, il est impossible de pouvoir la voir s’en détourner. Elle n’est pas une de ces obstinées ordinaires à qui la promesse d’une autre activité plus intéressante que l’on pourrait éventuellement lui faire miroiter. Quand elle avait décidé une chose, elle allait jusqu’au bout de cette dernière sans que rien ne puisse l’en détourner que ce soit une fanfare jouant un air entrainant à l’extérieur, sa famille qui ne cessait de tourner autour d’elle en piaillant ou même encore dans ce cas là, l’arrivée d’une personne dans la pièce où elle était entrain d’étudier. On aurait pu s’attendre à un sursaut, à ce qu’elle se retourne pour saluer la personne mais non, elle ne cessa pas une seule seconde lire ses bouquins. Il était notoire que Miss Preston avait un caractère des plus uniques dans son genre. Son effronterie qui l’amenait à prendre ses décisions seules, quitte à ne pas plaire à ceux qui l’entouraient n’avait d’égale que son asociabilité presque dérangeante. Ce n’était pas que Mackenzie n’aimait pas les gens, loin de là, mais elle n’avait pas tellement besoin d’être entourée pour se sentir à l’aise. La solitude lui convenait parfaitement. Après, il y a avait bien sûr des gens qu’elle aimait avoir auprès d’elle mais ils n’étaient guère nombreux. C’était en quelque sorte un privilège que de pouvoir trouver sa place dans le cœur de la brunette. Une voix se mêla soudainement aux bruits de pas, une voix qu’elle n’eut aucun mal à identifier. Treyton. Que représentait-il aux yeux de la jeune femme ? Mr Hollows était avant tout une sorte de patron pour elle. Plus âgé mais aussi plus expérimenté dans son domaine, elle le voyait en premier lieu comme une sorte de supérieur hiérarchique pour elle. Aussi une sorte d’ami. Enfin d’un certain point de vue. Elle ne niait pas non plus qu’il avait du charme, il faudrait être sotte ou aveugle pour le faire ou bien de mauvaise foi, ce que la jeune femme n’était pas. Mais était ce une raison suffisante pour qu’elle envisage de s’engager avec lui ? Surement pas. Premièrement parce qu’elle n’était pas encore prête à le faire, à s’attacher d’une manière aussi intime à une autre personne, mais aussi secondement, parce que depuis quelques temps elle préférait prendre ses distances avec les membres de l’Oberon, lui comprit. Pourquoi ? Toujours les mêmes raisons. Ces méfiances qu’elle ne pouvait s’empêcher d’avoir à l’encontre de cette organisation qui ne lui semblait pas si propre sur elle qu’on pouvait le penser. Ainsi, elle préférait ne pas s’attacher trop aux membres de cette dernière et elle ne prit pas la peine de répondre au jeune homme tout de suite alors qu’elle tournait la page de son bouquin sans même lever la tête de ce dernier, nullement consciente que Treyton était entrain de l’observer. Après tout, elle ignorait tout de ce qu’il pouvait bien avoir en tête à son encontre, la jeune fille n’étant pas du genre à harceler les gens sur ce qu’ils pensaient à son sujet. Cependant si elle n’avait pas vu qu’il l’espionnait un peu dans son travail, elle le sentit nettement arriver dans son dos et lire par-dessus son épaule et elle le laissa faire sans rien dire. Dans un sens, elle s’en fichait un peu et ca ne la perturbait pas plus que cela dans son travail. Concentration maximale, je vous l’ai déjà dis, n’est-ce pas ? Surtout qu’elle était en pleine phase d’analyse entre un individu sain et un autre en proie au stress et qu’elle se disait tout au fond d’elle qu’il serait surement intéressant de faire des tests sur un individu de chacune de ces catégories pour pouvoir les comparer et tenter d’établir des variables qui permettrait de trouver les traitements les plus efficaces. Mais si trouver une personne angoissée ne devrait pas être chose bien compliquée, en trouver une complètement détendue - ou du moins pas hystérique - face à ce changement qu’avait connu leurs vies ne serait pas chose aisée. Du moins, c’Est-ce qu’elle pensa sur le coup en se rappelant soudainement la présence dans son dos. Le brun ne semblait pas plus paniqué que cela et si comme tout le monde, le choc que la catastrophe avait engendré chez lui avait son importance, il semblait tout de même plutôt serein en vue de la situation. S’il acceptait de l’aider… mais pourrait-elle déjà le lui demander ? Elle était assez réticente de ce coté, elle devait bien l’admettre. Le lui demander la chiffonnait un peu pour de nombreuses raisons. Mais ces dernières ne faisaient pas le poids face aux vies qu’elle pourrait sauver en ayant des réponses à ses questions. Elle se retourna alors brusquement vers lui, manquant de se cogner de peu contre lui - la jeune fille esquivant au dernier moment l’éventuelle collision - alors qu’elle se mettait à le regarder intensément comme si elle tentait de lui en lui. Elle resta un long moment silencieuse à l’analyser du regard dans les moindres détails et avec une attention toute particulière qu’elle ne lui avait jamais donnée avant que finalement, elle ne prenne calmement et posément la parole, comme elle le faisait toujours avec lui.
Mackenzie - « Je pourrais te demander un service? Je souhaiterais faire une analyse comparative entre une personne sujette au stress et une autre relativement calme dans le but d’obtenir un traitement plus efficace à l’hôpital. J’aimerai que tu sois mon cobaye pour cette dernière… » Elle se tut un instant en penchant légèrement la tête sur le coté avant de reprendre d’une voix rassurante se disant un instant que expliquer comme cela, ca pouvait peut-être effrayer le jeune homme « Je veux dire, j’aurais juste besoin de toi pour quelques tests. Rien de bien dangereux, je te rassure et ca ne sera pas très long. Et si… si ca n’avait pas été aussi important, crois-moi je ne t’aurais pas dérangé et je ne te l’aurais pas demandé. »
Oui, Mackenzie allait droit au but, ca on pouvait le dire. Elle n’était pas du genre à tourner pendant cent vingt ans autour du pot et elle se montrait claire dans ce qu’elle désirait. Remontant légèrement la tête, elle plongea intensément ses prunelles sombres dans celles claires du jeune homme en attendant qu’il lui réponde. Elle espérait sincèrement qu’il accepterait. Mais cela, sans arrière-pensée ne vous emballez pas. Elle le lui demandait à lui comme elle aurait très bien pu le demander au cuisinier de l’organisation mais il s’avérait qu’il se trouvait être près d’elle quand elle avait eu cette idée. Et puis, avouons-le clairement : à bien y regarder de plus près, il était bien plus mignon que le cuistot. Vraiment plus mignon.
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