Sixtine ▬ Error 404

O'DONELL.SIXTINE ELEA.
six', sixty, lea.

AGE: 19 ans.
SEXE: Féminin.
DATE/LIEU DE NAISSANCE: 18 Décembre 1990 à Canberra en Australie.
GROUPE: Human.
CITATION: « Le temps emporte tout, qu'on le veuille ou non. Le temps emporte tout, le temps efface tout et tout ce qui reste à la fin ce sont les ténèbres. Parfois, au cours des ténèbres on retrouve d'autres personnes. Et parfois au cœur des ténèbres on les perd à nouveau. »
Stephen King.

ABOUT YOU;

EXPLICATIONS: SOME.DAYS.BEFORE.

AVA ▬ « Tu viens avec nous ? »
SIXTINE ▬ « Non, je vais rester ici, avec Winona. »

Ses parents, Ava et Ilies avaient quitté la maison. Vingt ans de mariage, ils avaient prévu d'aller au restaurant puis de dormir à l'hôtel. Laissant leur fille, Sixtine au domicile familiale. Elle avait eu le choix pour une fois, ils ne l'avaient pas forcé à venir avec eux avec comme excuse ; « Mais tu sais ma fille, si tu veux être connue, il faut se montrer ! ». Qui a dit qu'elle souhaitée devenir célèbre ? Selon eux ça coulait de source ; Sixtine était belle, charismatique, aimer la mode et en plus laissait faire d'elle tout ce qu'on voulait. Exactement ce qu'il faut pour devenir mannequin. Alors, ils avaient tout fait pour cela. À huit ans elle posait pour des pubs, à douze elle a fait son entrée sur les podiums et à dix-huit elle était connue dans le milieu. Que dans le milieu ce qui était beaucoup trop insuffisant. Ava et Ilies voyaient toujours plus haut. Sixty elle n'a jamais osé protester. Elle n'était pas intelligente, elle en avait conscience. Elle n'était pas idiote non plus, mais elle n'était pas assez intelligente pour poursuivre ses études. Elle n'avait aucun dont particulier. Si ce n'est celui de bien poser, de bien défiler et de savoir parfaitement accorder les vêtements et les couleurs. Qu'aurait-elle fait de sa vie si ses parents ne l'avait pas poussé à faire ce métier ? Pas grand-chose. Ils avaient cru bien faire, avaient essayé de rendre sa vie la plus parfaite possible et plus la vie de leur fille se rapprocher de leur idée de la perfection moins elle les aimée. Le coup fatal à cet amour fut porté lorsque la famille quitta l'Australie pour les Etats-Unis l'année des quinze ans de la jolie brune. Leur famille en était alors réellement une : Papa Ilies, Maman Ava et les jumelles Sixtine et Plasticine. Plasticine avait alors quitté la maison pour vivre avec leur tante. Les jumelles ne s'étaient jamais vraiment entendues, Plasticine avait toujours jalousé le soutient de ses parents envers le rêve de sa soeur. Ce qui avait causé en définitif le brisement de leur lien. Ava et Ilies n'avaient pas tenté de retenir leur plus jeune fille ce que Sixtine n'a pas apprécié.

La soirée avait suivi son court, les deux jeunes femmes avaient passé une bonne soirée puis étaient allées se coucher. Rien de spécial. Elles furent sorties de leur lit aux alentours entre dix heures et onze heures du matin. La raison de ce réveil n'était pas le fait d'avoir assez dormi, ni le soleil qui pénétrait dans la chambre. C'était tout autre, beaucoup plus effrayant. Sixtine entendit d'abord un énorme craquement. Pas comme les craquements du bois. Un bruit beaucoup plus fort. Win' et Six' c'étaient levées précipitamment, elles avaient couru dehors d'où provenaient maintenant des hurlements et des pleurs. Une énorme fosse coupée la chaussée en deux happant toute personne se trouvant trop près du gouffre. Partir. Voilà la première pensée qui traversa son esprit. Sixtine aurait pu se mettre à courir comme une folle loin, très loi entraînant son amie avec elle. Mais sa superficialité l'emporta. Elle se senti obligée de prendre des affaires, tous ceux qu'elle pu fourrer dans son énorme sac Dolce & Gabbana en cuir, elle prit aussi du maquillage et une brosse. Comme si elle en avait besoin si elle mourrait emportée dans le trou. Sixty prit aussi, dans un éclair de génie de quoi manger et boire. Puis les deux amies partir en courant à l'opposé du trou. Elles coururent pendant des heures. Pour Sixtine cela avait semblé durer des jours. Elle fut alors reconnaissante envers sa mère de lui infliger les deux heures de sport chaque jour qu'elle faisait depuis ses huit ans. Certainement pour cela qu'elle pu courir aussi vite aussi longtemps. Elles ne s'étaient arrêtées qu'une fois pour boire et manger puis avait continué de courir encore et encore.

Jusqu'à rencontrer un autre groupe de rescapés, elles se joignirent à eux puis le groupe s'agrandit encore et encore. Jusqu'à ce qu'on vint les chercher. L'Obéron. Un groupe de scientifique ni plus ni moins. Ces mêmes scientifiques qui étudient la catastrophe. Le Jour J comme ils disent. Cette expression n'est-elle pas censée décrire quelque chose de bien, un jour important en positif. Or là, Sixtine ne trouve rien de bien ni de positif au fait que la Terre ce soit littéralement fendu en deux devant ses yeux. L'Obéron leur a expliqué ce qu'il s'était passé. À vrai dire elle n'avait pas tout saisi et eux n'en avait pas dit tant que cela finalement. Mais elle y croyait si cela pouvait l'empêcher de paniquer et puis après tout, pourquoi mentiraient-ils ? Sa soeur fait partie de L'Obéron. Elle ne lui a pas encore parlé. Sixtine attend le bon moment à vrai dire. Elle et les autres rescapés ont été conduit dans un endroit appelé « Le Globe ». Elle trouve cet endroit un peu bizarre. Pour elle c'est comme une ville sous un énorme bâtiment. Il y a à la fois beaucoup de monde ici et à la fois très peu en comparaison avec les pertes humaines qu'a engendré cette catastrophe. Pire que la première et la seconde guerre monde et que tous les génocides réunis. Des pertes énormes. Les membres de L'Obéron ont reconstruit ici comme une petite ville. Il y a tout ce qu'il faut, même ce qui n'est, au vu de la situation pas si indispensable que ça ; une école et des galeries marchandes. Seul l'eau et la nourriture manque un peu.

TODAY.

ENFANT :: « Mamaaaaaan »

Dans le malheur qui avait frappait la Terre, Sixtine avait été vraiment malheureuse Enfin non, pas tant que ça finalement puisqu'elle était vivant et ô miracle en parfaite santé. Ni bobo ni rien. Mais malheureusement, elle était arrivée dans les derniers. Ou plutôt son lieu de vie lui avait été attribué tardivement. Elle avait donc du prendre ce qu'il restait ; une tente. Or, depuis sa naissance, Sixtine avait toujours habité une grande villa. Que ce soit en Australie où au Etats-Unis. Sa maison comporté piscine, saune et tout le luxe dont -selon- ses parents elle avait besoin. Du coup, se retrouver dans une tente... Et pire que tout, sa tente se trouvé à côté de celle d'une famille, avec un sale gamin d'environ huit ans qui, en plus de se lever à sept heures du matin et de crier tout ce qui lui passait par la tête, il avait pris sa tente comme cible pour son ballon. Ce n'était pas avec cela qu'elle allait pouvoir avoir les dix heures de sommeil nécessaire pour ne pas avoir de cerne. Saleté de gamin ! Sixtine ouvrit difficilement, elle n'avait aucune idée de l'heure qu'il était, mais elle était sûre de deux chose premièrement, il était bien trop tôt pour se lever et deuxièmement il n'était pas si tôt que ça puisque le soleil tapé déjà très fort ce matin...ou après-midi. Après avoir rassemblé tout son courage, elle fini par se lever. Sixty emporta avec elle son nécessairement de toilette à savoir une serviette, un gant de toilette , une brosse à dents et un dentifrice distribués par L'Obéron, son shampooing, son masque pour les cheveux, son gel douche, sa crème pour le visage, son maquillage, sa brosse qu'elle avait fort heureusement et elle ne sait elle même par quel miracle réussi à emporter et à faire tenir dans son sac. Elle prit aussi de quoi se changer et parti en direction des douches fermant la fermeture éclair de sa tente derrière elle.

Sixtine ne prit qu'une toute petite douche l'eau étant rare. Elle se prépara ensuite, coiffage et tout et tout. Sa mère lui avait appris que même des les pires situations il fallait se mettre en valeur. C'était idiot mais la jolie brunette n'avait jamais osé contredire ses parents. De toutes façons, aujourd'hui elle n'aurait plus aucune raison de le faire. Elea ne les a pas vu et elle sait que, même s'ils avaient survécu à la catastrophe, ils seraient morts de soif en quelques jours. Elle aurait pu, aurait dû être triste, mais Six' avait tellement apprit à les détester que c'était presque un soulagement pour elle. Comme une renaissance. Sixtine avait attaché ses cheveux bruns en une queue haute, elle avait enfilé un jean slim noir ainsi qu'une chemise à carreaux rouges et noirs et d'escarpins Jimmie Choo noirs. Elle avait l'air ridiculement belle. Elle était si bien habillée, coiffée et maquillée que, dans une situation pareil cela en était presque indescent. Quand bien même, c'était sa nature, elle ne changerai pas. Sixtine avait rejoint le réfectoire. Elle s'était assise à la première place qu'elle avait vu. Elle n'avait pas croisé Winona alors peu importe avec qui elle allait manger.

FEMME ▬ « Tu sais ce qu'on raconte ? Il paraît qu'ils vont nous garder ici pour faire des expériences sur nous. Tu sais, comme sur les rat. »

Sixtine se leva brusquement de table et quitta le réfectoire. Elle ne voulait pas en entendre d'avantage. Ce n'était peut-être que des ragots. Ou peut-être était-ce vrai. Sixtine se laissait tellement facilement convaincre qu'il ne lui en fallait que très peu pour se monter le bourrichon. « Des sottises ».Tentait-elle de se rassurer. Elle n'avait pas envie de devenir un rat de laboratoire. Comme personne d'ailleurs. La peur pris possession d'elle et elle se sentit obligée de faire la seule chose qui pouvait réellement la détendre : le shopping. Certes les galeries marchandes ne ressemblaient en rien à celles qu'elle avait connu, mais c'était mieux que rien. Au bout de quelques minutes de lèches vitrine, elle aperçue au loin une silhouette qu'elle connaissait. Sixtine s'avança vers lui. Elle ne pu s'empêcher de lui poser la question qui la tourmentait depuis quelques minutes.

SIXTINE ▬ « Tu crois qu'ils vont se servir de nous pour faire des expériences ? Comme avec les rats ? »

Sixty n'avait même pas prit la peine de le saluer, l'esprit trop occupé par la question qui la hantait. Elle avait peur. Encore plus peur que lors du Jour J, quand elle avait dû courir pendant des heures pour échapper à la mort. Quand elle courrait elle ne pensait à rien, juste à courir or là, son esprit était en ébullition et penser fait beaucoup plus peur qu'autre chose. Au bout de quelques secondes, elle releva la tête vers cet personne, tête qu'elle avait baissé juste après avoir posé cette question.

SIXTINE ▬ « Hum...Salut. »

DERRIÈRE L'ÉCRAN;

PSEUDO: Déborah.
AGE: Obligatoire. J'aime bien le 'Obligatoire' xD, si je le mets pas tu me tues ? xD.
SEXE: Féminin, ou pas (a).
AVATAR: Ashley Greene .
COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? Prd.
NIVEAU RP: I don't know. Quinze grand minimum.
UN DERNIER MOT ? J'aime les smileys huhu.