Polaroid
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 ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE

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Noah C. Field
NOAH
« divine extravagance »
Noah C. Field


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MessageSujet: ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE   ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE EmptyJeu 6 Aoû - 0:03

    ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE Smrhcn
    ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE Robertpatt_3

      Ambroise &&. Noah
      « Nul ne peut apprendre aux autres à se libérer s'il n'a pas commencé à se libérer lui-même. »







Les lourds rayons de soleil filtraient à travers les fines tentures de la chambre de Noah et vinrent chatouiller ses paupières, encore fermement closes. Pour une fois depuis un bout de temps, il avait réussi à fermer l'œil cette nuit. Cette insomnie commençait à devenir très agaçante et la fatigue se faisait peu à peu sentir, malgré le fait qu'il n'ai pas besoin énormément d'heures de sommeil pour se sentir en forme. Doucement, il ouvrit les yeux. La première chose qu'il bit fut la forte lumière qui n'émanait de la fenêtre. Il fut déçu. Il avait raté le levé du soleil. Pourtant, c'était l'un des plus beau spectacle qu'il n'ai jamais vu durant sa courte existence. Le soleil, il en avait fait son Dieu. Il le vénérait tout bonnement. Avec la peur d'avoir cet atroce tournis, il posa ses pieds encore nu sur le sol - chaud - et s'asseyait sur le bord de son lit. Il s'étira longuement. Cette nuit de sommeil lui avait du bien, il en avait réellement besoin, quitte à raté le levé du soleil. Après un long soupire, il se leva et se dirigea vers la salle de bain, en prenant des vêtements au passage. Une fois dans la petite pièce, il ouvrit machinalement le robinet d'eau qui mit quelque secondes pour devenir à bonne température. Il prit sa douche rapidement avant de retourner dans sa chambre.

Il prit à nouveau place sur son lit, se demandant comment tuer le temps. C'était devenu un quotidien monotone mais que pouvait-il y faire. Il se dit qu'il pourrait faire un tour dehors. Il n'aimait pas resté cloitré chez et lui et marcher un peu n'est pas une mauvaise idée. Depuis qu'il y était arrivé, Noah prenait un grand plaisir à visité tous les coins du Globe. Il espérait trouver quelque chose d'intéressant chaque jour mais c'était rarement le cas. Il enfila ses chaussures et sortit. Sur le perron de son appartement, il se demanda où il pouvait bien aller. *Au diable* pensa-t-il. Il irait où ses pieds le guiderait, comme à chaque fois. En marchant, il essayait de faire le vide dans son esprit, ce qui n'était pas mince affaire. Sans vraiment s'en rendre compte, il était arrivé à la serre, endroit où il n'était pas encore allé.

Il fut étonné de voir la diversité des plantes qui s'y trouvaient. Les humains avaient réussi à sauver beaucoup d'espèces, mais les spécimens de leur propres étaient on ne peut plus rare. Cela fit sourire Noah intérieurement. Il ne comprendrait décidement jamais les humains. Il humait le parfum exotiques de toutes ces plantes. C'était assez agréable. Il les admirais. C'était presque un paradis pour un polaroid, sachant que ces derniers vénèrent la nature. Elle était leur créatrice. Une plante en particulier lui rappelait le doux parfum du fruit de la passion alors que vraisemblablement, ça n'avait rien à voir. Il se rendit compte qu'il y avait pas mal de monde dans la serre. Il chercha un banc vide du regard. Il en aperçu un, un peu plus loin. Il alla s'y asseoir quelque seconde après. Il soupira et ferma les yeux un instant, profitant du calme loin de la foule que se trouvait à quelque lieux de là. Etant - comme à son habitude - perdu dans ses pensées, il ne rendit pas compte que quelqu'un s'était assis près de lui. Sentant un souffle dans son cou, il ouvrit brusquement les yeux. Il reconnut Ambroise qui était là, assise à côté de lui. Elle l'avait fait sursauter.

    NOAH ▬ « Ambre ? Je te prie de ne plus jamais recommencer. »



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Ambroise c. Juliard

Ambroise c. Juliard


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MessageSujet: Re: ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE   ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE EmptyJeu 6 Aoû - 3:33



    CLEVELAND - " Ah le voilà, c'est un Saguaro, celui là peut vivre plus de 150 ans et il lui faut à peu près 75 ans pour qu'un bras pousse. Celui là en a deux, il doit donc avoir... bin tiens 150 ans !"
    ENFANT - "Mais alors, il va mourir ?"
    CLEVELAND - " Je ne pense pas, il a l'air en super forme"
    ENFANT - "Je vois pas comment tu peux voir qu'il est en forme ?"
    CLEVELAND - "Observe le, tu ne prends pas la peine de regarder les choses, ses épines sont rigides, il est fleuri, il a l'air d'être rempli d'eau, non tout va bien."


    Tournant la tête vers le gamin, il ne put s'empêcher de rire en voyant son air de dépit. Il lui fit une tape dans le dos avant de vaguement soupirer d'auto dérision. Il ne se rendait pas compte de l'état d'excitation générale qu'il éprouvait lorsqu'il se retrouvait face à un cactus. C'était comme rencontrer la chose la plus cool du monde, enfin du moins ce qu'il pouvait en rester du monde. Avec une certaine affection bien particulière, il se mit à caresser une des épines du Saguaro. C'était l'une des plus belles plantes que Mère Nature avait pu créer, du point de vue de Cleveland tout du moins. Il resta un long moment à admirer sa plante pas si banale avant de se rendre compte que l'enfant était déjà partit plus loin. Cleveland était venu lui parler par hasard, car il était toujours beaucoup plus facile de parler avec des enfants. On engageait beaucoup plus vite la conversation, on pouvait parler de tout et de rien à la fois. Il ne connaissait ni son nom ni ce qu'il venait faire ici, mais par contre, ce qu'il savait, c'était que l'enfant et lui étaient devenus de très bons copains. Peut être pas de vrais copains comme deux garçons de huit ans pouvaient le devenir, mais Cleveland avait assez douverture d'esprit pour copiner avec les personnes de tout âge.

    Il avança vers d'autres espèces de cactus en détaillant chacune de leurs épines, leur couleur, la forme de leurs bras, leurs crêtes, bref tout ce qui pouvait faire qu'ils soient des cactus. Cleveland se sentait extrêmement proche de toutes ces plantes, normal me direz-vous, c'est un Polaroid, mais pour lui il éprouvait le besoin de s'imaginer que lui seul possédait ce "don", cette amour si profond pour tout ce qui pouvait l'entourer, que cela provienne de la terre où que cela ait été fabriqué par l'homme, au final, ça en revenait quasi toujours au même pour Cleveland, des heures d'émerveillement pour des choses qui semblaient déjà si "normales" aux yeux des humains. Ces humains, qui finalement, elle aimait tant. L'amour qu'elle éprouvait pour eux était inné, elle avait était faite ainsi, mais peu à peu elle commençait petit à petit à apprendre à se méfier d'eux. Ils avaient si peu d'estime et de respect pour la nature qui les entouraient, pire ils s'en étaient désintéresser, c'était tout de même en partie de leur faute si le monde avait ainsi été mit en péril, et voilà que maintenant ils s'en étonnaient, tous étaient là à se poser la question du pourquoi du comment ils en étaient arrivés là. Et ça, c'était certainement la question la plus stupide que l'humain pouvait poser en ces temps.

    Enfoui dans ses pensées, il se fit surprendre par un cri qui venait des étalages tout près de ceux des cactus. Lorsqu'ils s'approcha des plantes carnivores, il put voir à quel point celles-ci était prisées par rapport à celles des cactus, quoi, les cactus étaient tout aussi intéressant que les plantes carnivores, pourquoi ce soudain engouement ? Il avança encore quelques pas et de là, il put voir La chose. Cleveland n'y connaissait presque rien en plante carnivore, et ne pouvait donc en aucun cas qualifier la plante par son nom, tout ce qu'il pouvait constater à l'heure actuelle, était que la plante avait la taille d'un poney. De sa "bouche" béante pendant un morceau de fer, séparé en plusieurs petits cercles de ce même fer avant de finir sur un morceu de caoutchouc roulé lui aussi en forme de cercle. Cleveland pencha la tête de côté et s'aperçut que c'était une laisse. Il avait vu très peu d'animaux de compagnie dans le Globe, d'où son incapacité à naturaliser les choses dès le premier coup d'oeil. Le bout de la laisse était caché par la trachée de la plante. Lorsque notre Polaroid se tourna vers la vieille femme qui hurlait à la mort sur l'un des responsables des lieux, il comprit immédiatement ce qui était en train de se passer. Mais du peu qu'il en savait sur les plantes carnivores, elle n'attaquait pas d'animaux de taille moyenne, des insectes oui, mais certainement pas de chiens. Il continuait d'étudier la plante et comment le chien avait bien pu arriver là dedans, jusqu'à ce qu'un gloussement lui parvienne de derrière la plante. Il se mit à glousser lui aussi en s'imaginant une plante qui pouvait rire, mais bien sur il n'y croyait pas vraiment, de ce fait il avança de quelques pas de façon à voir le derrière de la plante tout en restant à l'écart de la scène de ménage entre la vieille femme et le responsable.

    Bizarrement, il ne fut pas étonné d'y découvrir son nouvel ami, avec un petit caniche blanc et laid dans les bras. Le chien tremblait comme une feuille, Ca ne lui faisait apparemment pas si plaisir de se trouver près de la plante qui l'avait potentiellement mangé. Cleveland n'était ni rabat joie ni fermé pour dénoncer le gamin, il lui fit un clin d'oeil et tourna les talons. Tout en s'avancant vers un endroit plus calme, il pensa à la punition qu'obtiendrait le jeune garçon lorsqu'on découvrirait la supercherie. Certes il en serait déçu, mais au moins serait-il fier d'avoir fait une bonne blague à cette vieille femme autoritaire. Il continuait d'avancer et commentçait à percevoir un banc occupé en face de lui. A la vue de celui qui y était assis, un sourire empli de joie s'étala sur le visage de Cleveland tout pendant que ses pas se faisaient de plus en plus silencieux et qu'il partait se cacher derrière une plante, la plus grande qu'il trouva. Rapidement, il se transforma en sa forme favorite, Ambroise. Elle n'avait pas le temps de se changer, mais tant pis, elle se sentait si à l'aise dans son tee shirt, on ne la blâmerait pas pour si peu. Avançant à pas de loup jusqu'au garçon du banc, elle s'asseya en douceur à côté de lui et rapprocha sa bouche de son cou. Elle huma l'odeur délicieuse du garçon. Il sentait aussi bon qu'une orchidée sauvage.

    NOAH ▬ « Ambre ? Je te prie de ne plus jamais recommencer. »
    AMBROISE - " T'aurais-je fait peur ? A toi, monsieur je-ne-sais-pas-ce-que-je-veux ?"


    Elle avança encore ses lèvres de la peau de son cou afin de l'embrasser, puis quand elle fut trop près du but, elle se résigna, pour une raison qui lui était étrangère.
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Noah C. Field
NOAH
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Noah C. Field


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MessageSujet: Re: ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE   ne rien faire est une chose ; ne rien pouvoir faire en est une autre - AMBROISE EmptyVen 7 Aoû - 22:20

    AMBROISE ▬ " T'aurais-je fait peur ? A toi, monsieur je-ne-sais-pas-ce-que-je-veux ?"


Noah fronça les sourcils. Il ne compris pas ce qu'elle voulut dire. D'ailleurs, n'est pas rare qu'il ne saisisse pas ce qui sort de sa bouche. Il lui lança un regard qui faisait comprendre qu'il ne comprenais pas. Il faut avouer qu'il essayais de l'éviter ces derniers temps. Il avait imaginé que ça ne devait pas être très compliqué. Il s'est vite détromper. En même temps, le Globe n'est pas si grand que ça. Il savait qu'il devrait finir par lui dire qu'il ne ressent pas pour elle ce qu'elle ressent pour lui. En fait, il ne sait même pas ce qu'il ressent tout court. Tout s'embrouille ces derniers temps et ça comment sérieusement à l'agacer. Il se dit que le plus tard sera le mieux. Il avait pourtant essayé de lui parler, mais il se ravisait à chaque fois pour une raison qui restant encore étrangère. Elle lui souriait, comme à son habitude. Elle avait cet éternel sourire sur les lèvres. Noah ne comprenait pas toujours comment certaines personnes peuvent avoir constamment l'air heureuses. Elle rapprocha ses lèvres du cou du jeune homme, probablement pour lui donner un baiser, mais elle ne le fit pas, ce qui étonna assez le jeune polaroid. Noah la regarda plus attentivement. Il remarqua - en même temps ça sautait aux yeux - qu'elle portait des vêtements d'homme. Elle devait sans doute avoir pris sa forme féminine à l'instant. Il savait que c'était dans ses habitudes de changer de forme à chaque coins de rue, ce qui n'est pas toujours très malin, avouons-le. Noah lui passait le plus clair de son temps en homme.

    NOAH ▬ « Tu aurais quand même pu te changer. »


Il détourna le regard pendant qu'elle humait son odeur. Tout ça le rendait mal à l'aise. En quelques sortes, il s'en voulait de ne pas tout lui dire, il ne voulait la contrarié aussi étonnant que cela puisse paraître. Quand il repensait qu'elle l'avait abordé il y a déjà un bon moment, il la trouvait plutôt courageuse. Ce n'est pas vraiment le mo, mais Noah n'en trouva pas de meilleurs sur le coup. Amer, acide, irritant et irritable. Ce sont des adjectifs qui qualifient parfaitement Noah. C'est sans doute pour cette raison qu'on évitait de lui adresser la parole. Mais Ambroise l'avait fait, elle et il l'admirait secrètement pour ça. Il se demandait parfois comment elle pouvait apprécier sa compagnie. Après tout, il était loin d'être le plus sympathique des hommes présents sous ce dôme de verre. Les personnes que Noah considère vraiment comme ses amis se content sur les doigts.


    NOAH ▬ « Hum... Comment vas-tu depuis la dernière fois ? »


Il lui posa surtout cette question pour la repousser en douceur. Elle était en effet maintenant contre lui. Il savait que si elle parlait, elle ne pourrait pas faire pression sur ses lèvres avec les siennes ou l'embrasser comme disent les humains. Ce genre de preuves d'affection le mettaient assez mal à l'aise mais il la laissait faire pour ne pas la froisser. Il savait qu'elle aiait faire ça.
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