Alienor ▌Loading.... 100%

GRAHAM.ALIENORE.JAELYNE aly. AGE: 18 ans SEXE: Femme DATE/LIEU DE NAISSANCE: 13 Août 1991 à Londres GROUPE: Human CITATION: " Rien n'est impossible, seules les limites de nos esprits définnissent certaines choses comme inconcevables. " Marc Lévy

ABOUT YOU;


PSYCHOLOGIE:
Défauts Peut-on affirmer que la gourmandise est un défaut ? Dans mon cas forcément, il n'est pas rare de me voir grignoter à toutes heures de la journée. Dans mon sac, il y a toujours une barre de chocolat ou des bonbons, je ne peux résister à ces petites gourmandises. D'ailleurs les gens me regardent avec des yeux étranges car pour manger autant de friandises, je ne prends pas un gramme. Je suis très sensible, un défaut qui me perdra peut-être un jour ou l'autre et je préférais l’être un peu moins. Car je ne suis pas bien ou que ça va pas, je fonds en larmes. Je suis aussi d'une nature dépensière, mais pas égoïste je dépense beaucoup pour les gens qui me tiennent à cœur, pas assez pour moi. Mais pour me sentir bien, il me suffit de peu de choses : des livres, de la musique et mes amis.
Qualités Les qualités sont moins aisées à trouvées pour toutes personnes à l'inverses des défauts, voyons que je réfléchisse...Selon les gens qui m’entourent, je suis une personne très douce. De plus je garde toujours un petit côté rêveur ce qui me permet de m’imaginer de belles choses, un trait de caractère offert par ma mère il parait qu'elle a séduit ainsi mon père par sa simplicité et son attitude rêveuse. Je suis aussi une personne honnête, qui va cependant prendre des pincettes pour vous annoncez une mauvaise nouvelle, certains considère ce trait de caractère comme étant un défaut mais à l'époque actuelle combien de gens sont encore honnêtes ? Je suis aussi une de ses filles romantiques qui aime les histoires d’amour qui finissent bien, les films à l’eau de rose, et tous ces livres tout aussi magnifiques que tragiques!


BACKGROUND:


Il n'existe que des contes de fées sanglants. Tout conte de fées est issu des profondeurs du sang et de la peur. ▌Franz Kafka


13 Août 1991, Londres. Qui ne connait pas cette ville immense où on y trouve des bus rouges, des taxis noirs et une reine ? Et bien, pas moi en tout cas, oui. Ce fut en ce jour, ensoleillé et agréable, que je naquis. Et comme tout enfant, j’avais des parents. Ma maman, Rose A. Martin, jeune française venu à Londres pour ces études de journalisme, a épousé mon père, Allan R. Graham, un fils de PDG. Ma venue était la plus attendue, et oui, j’étais le premier petit enfant de la famille Graham. Le père de mon père l’attendait comme le messie. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise quand il apprit que j’étais une fille. Lui, ce qu’il voulait, c’était un garçon, pour qu’il reprenne l’entreprise familiale comme l’avait fait mon père quelques années plutôt. Seulement, il devait faire avec, j’étais une fille, un point c’est tout. Mes parents n’eurent pas d’autres enfants. Mon grand-père me fit vite voir que je n’étais pas la bienvenue dans ce petit monde. Heureusement que mes parents étaient là, pour lui faire comprendre que j’étais leur bien le plus précieux qu’ils soient, et que jamais n’avait désiré autre chose que moi. J’ai toujours eu tout ce que je voulais, j’étais la vraie petite princesse. Cependant, je n’étais pas ce genre de filles à se vanter et à faire la petite gâtée.
Au moment de choisir sa voix au lycée, je ne savais plus où donnait de la tête. Tout le monde voulait me pousser dans une voix. Mon grand-père voulait que je me dirige vers le commerce, ma grand-mère le stylisme, mon père les langues. Seul ma mère ne prenait pas par à ce jeu. Un soir, elle était venue dans ma chambre pour me dire que je devais choisir la voix que je désirais moi. Les autres ne devaient en aucun cas prendre cette décision à place. Ça m’a fit prendre conscience de ce que je voulais faire. En réalité, je n’avais pas d’idée bien précise. Seulement, je savais que je voulais travailler dans le monde de l’histoire, de la culture et de l’art. J’optais donc pour une voix littéraire.






Le jour J. C’était la plus heureuse du moins pendant un moment. J’avais obtenu mon bac avec mention très bien. De quoi faire râler mon grand-père. De plus, l’université dans laquelle, je voulais suivre des études de littératures m’accepter les bras ouverts. J’allais enfin pouvoir m’éloigner un peu de ce monde qui parfois me déplaisait. Je ne savais pas vraiment où m’emmener ces études. De toute façon, j’avais la vie devant moi, j’aurais bien le temps de trouver un but, une raison de poursuivre.
Seulement mes espoirs disparurent très vite. J’étais tranquillement installé dans ma chambre, la musique à fond et la tête dans un livre.


Papa ▬ « Aly. Aly. »
Aliénore ▬ «Je suis là, papa. »

J’avais l’impression qu’il ne m’entendait pas, alors j’éteignis ma chaine, posa mon livre sur mon lit. Et partit à sa recherche. Je n’avais pas sentit la première secousse, surement trop absorbé par mon livre.


Papa ▬ « Aly. Rose…. Aly. Rose. Répondez-moi. Où êtes-vous ? »
Aliénore ▬ « Papa. Qu’est-ce qu’il…. »

La deuxième secousse avait fait violer si brutalement le manoir, que les murs s’écroulaient par gros morceaux. Courant, sans vraiment regarder où j’allais, j’avais chuté sur le sol. Je n’avais pas eu le temps de me relever qu’une portion d’un mur me tomba dessus sans prévenir. Je fus le vide, plus rien, le néant.



Quelques heures plus tard.
Mes yeux s’ouvrirent un peu, mais la lumière fut si forte que je les refermais immédiatement. J’attendis quelques secondes afin que je me fasse à cette clarté. Quand je fus prête à les ouvrir, je pus m’apercevoir que j’étais dans un endroit qui m’était inconnu. Je ne reconnais rien. Les murs, les gens. Et puis, j’avais des tuyaux dans le nez et j’étais sous perfusion. J’enlevais tout pour m’asseoir sur le bord du lit, prête à me lever. Je voulais partir de cet endroit, retrouver mes parents. Mais l’homme de dos se retourna, et vint vers moi.


Homme ▬ « Non. Non. Mademoiselle Graham. Vous devez vous reposer. Vous venez de vous réveiller d’un cours coma. »
Aliénore ▬ «Où est Nathaël ? Où sont mes parents ? Où je suis ? »


Il m’aida, plutôt forçait, à me mettre dans mon lit en faisant semblant de n’avoir pas entendu ce que j’avais demandé. Heureusement, une tête connue passa la porte de ma chambre. Je fus heureuse de le voir ici, j’avais besoin de lui. Peut être que lui avait les réponses à mes questions.


Nathaël ▬ « Je suis là, Aly. »
Aliénore ▬ «Nathaël, dis-moi où je suis et où sont mes parents. Je veux les voire. »


Quand il fut sur le lit, il me prit dans ses bras. A voir son regard, je savais qu’il allait me dire quelques choses de dure à entendre. Je m’en foutais tant que ce n’était pas à propos de mes parents.


Nathaël ▬ « Si je suis désolé, Aliénore. »
Aliénore ▬ «De quoi?»
Nathaël ▬ « Tes parents n’ont pas survécu. »
Aliénore ▬ «Non. Ce n’est pas vrai.»
Nathaël ▬ « Ne t’inquiète pas ici, tu es en sécurité. »


Les lames se mirent à couler le long de mes joues. Désormais, j’étais seule. Dans ce monde. Pourquoi je n’avais pas fini comme eux ? J’avais survécu à cet atroce événement. Je devais être dans un cauchemar quand je me réveillerais tout aurais disparu. Mais ce ne fut pas le cas.
Désormais, je dois trouver une once d’espoir dans ce folie, sans savoir de quoi sera fait demain. Moi qui avais prévu d’aller à l’université, de faire de longues d’études. Tout ça n’était plus qu’un lointain rêve….